Le Grand Rendez-Vous avec Jean-Marie LE GUEN... par Europe1fr
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Le Grand Rendez-Vous avec Jean-Marie Le Guen (3ème partie)
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 avril (mise à jour)
A la une
FranceTVinfo - Manuel Valls veut-il mettre la France au smic ?
Le Premier ministre a promis de supprimer les charges des entreprises pour chaque salarié payé au salaire minimum.
"Voilà le changement", a annoncé le Premier ministre. Manuel Valls a promis la suppression des charges pour l'employeur d'un salarié payé au smic, à partir du 1er janvier 2015. C'est l'une des principales mesures du pacte de responsabilité, détaillé lors de la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, mardi 8 avril.
11, 12 et 13 avril
Le Monde - « Hollande n'a rien compris à la raclée qui a été infligée au PS »
Beaucoup de militants socialistes sont « déçus » par le remaniement ministériel finalisé le 9 avril avec la nomination de quatorze secrétaires d'Etat. Parmi ceux qui ont répondu à l'appel à témoignages lancé jeudi 10 avril par Le Monde.fr, une grande majorité ont voulu exprimer leur désaprobation et leur inquiétude.
Europe 1 - Comment Hollande veut (ré)occuper le terrain
IL VA PARLER - Le chef de l’État veut être davantage présent sur la scène nationale et s'exprimera prochainement.
Le changement de com', c'est bientôt. François Hollande ne compte pas laisser Manuel Valls occuper seul le terrain. À la tête d'un exécutif renouvelé, le chef de l'Etat a l'intention de s'exprimer prochainement et d'être davantage présent sur la scène nationale, confie sa garde rapprochée en marge de la visite présidentielle au Mexique. Le président de la République a été beaucoup accaparé par les voyages à l’étranger ces derniers mois, reconnaît-on dans son entourage auprès d'Europe1. Mais, y assure-t-on, la communication changera dès les prochains jours.
Le Monde - « Camba », l'homme qui rêvait d'être chef du parti
Certains responsables politiques rêvent d'être président de la République depuis qu'ils sont tout petits. Jean-Christophe Cambadélis, lui, a toujours poursuivi un autre dessein : devenir premier secrétaire du Parti socialiste. A 62 ans, son souhait s'est enfin réalisé mercredi 9 avril, avec la promotion-sanction d'Harlem Désir au gouvernement comme secrétaire d'Etat aux affaires européennes.
RTL - Européennes 2014 : "Peillon n'a rien demandé pour l’Ile-de-France", assure Cambadélis
Le futur premier secrétaire du PS "ne croit pas" que l'ancien ministre de l'Education veuille mener la liste socialiste en Ile-de-France pour les prochaines européennes.
"Nous verrons qui va diriger la liste socialiste aux prochaines élections européennes", a déclaré Jean-Christophe Cambadélis. "Nous avons un meeting avec Martin Schulz, nous allons décider ensemble", a expliqué celui qui devrait succéder à Harlem Désir à la tête du parti socialiste.
"La nomination d’Harlem Désir est une insulte à l’Europe." La charge de Nathalie Kosciusko-Morizet, ce jeudi 10 avril, sur France 2, résume le sentiment donné jusque dans son propre parti par l’exfiltration d’Harlem Désir de la direction du PS, nommé secrétaire d’Etat aux Affaires européennes du gouvernement Valls – un portefeuille rétrogradé avec le changement de gouvernement de ministre délégué à secrétaire d’Etat-. Une nomination qui met fin, de facto, à son mandat de député européen.
Libé - Qui sont les nouveaux secrétaires d'Etat ?
Au nombre de quatorze, ils complètent le gouvernement de Manuel Valls. Neuf d'entre eux n'étaient pas membres du précédent gouvernement.
Les Echos - Cambadélis, la voix sociale du PS, enfin aux manettes ?
Candidat malheureux à la succession de Martine Aubry en 2012, Jean-Christophe Cambadélis devrait remplacer Harlem Désir à la la tête du PS. L'ancien militant trotskyste a multiplié au cours des derniers mois les prises de position acérées.
10 avril
Le Nouvel Obs - Pourquoi Cambadélis à la tête du PS ?
Harlem Désir, c'est fini ! Avant même l'exfiltration du premier secrétaire, l'ex-lieutenant de DSK a reçu les soutiens nécessaires pour lui succéder.
Libé - La Gauche Forte veut un vote des militants socialistes pour désigner le chef de Solférino
Devenu secrétaire d'Etat, le patron de Solférino Harlem Désir a proposé que Jean-Christophe Cambadélis le remplace. Déclenchant la fureur d'au moins un courant du PS, qui y voit un déni de démocratie interne.
Europe 1 - Tête du PS : Désir a proposé Cambadélis
REMANIEMENT, LA SUITE - Le patron du PS a été nommé secrétaire d’Etat aux affaires européennes.
Harlem Désir, qui a été nommé mercredi secrétaire d’Etat aux Affaires européennes dans le gouvernement Valls a "proposé", devant l'exécutif du Parti socialiste, le nom de Jean-Christophe Cambadélis pour lui succéder à la tête du PS.
Europe 1 - Cambadélis, "un homme de coups" à la tête du PS ?
PORTRAIT - Ancien trotskiste et ex-lieutenant de DSK, le théoricien de la "gauche plurielle" devrait succéder à Harlem Désir.
C'est l'histoire d'un homme né à Neuilly, devenu militant trotskiste avant de s'imposer comme un cadre du parti socialiste… et de le diriger ? Sauf surprise de dernière minute, Jean-Christophe Cambadélis remplacera en effet Harlem désir à la tête du principal parti de gauche. L'ancien patron de SOS Racisme, qui a été nommé secrétaire d’État aux Affaires européennes, a "proposé" son nom devant l'exécutif du Parti socialiste, en accord avec le numéro 2 du parti, Guillaume Bachelay. "Camba" devrait ainsi être officiellement désigné mardi prochain.
Le Monde - Ce qu'il faut retenir des nouvelles nominations au gouvernement Valls
On en attendait une douzaine. Ce sont finalement quatorze secrétaires d'Etat qui rejoignent le gouvernement de Manuel Valls. Leurs noms ont été dévoilés un peu avant 17 heures, mercredi 9 avril, par Pierre-René Lemas, le secrétaire général de la présidence de la République, dans des circonstances quelque peu particulières dans la mesure où le départ de celui-ci de l'Elysée avait été annoncé quelques heures plus tôt.
Libé - Gouvernement, PS, Elysée : Hollande et Valls font bon ménage
Proches et poids lourds à tous les étages du dispositif : le Président et son Premier ministre ont fait table rase de l’organisation des débuts du quinquennat.
Le Figaro - Élysée, PS : Hollande remanie tout
Au nom du professionnalisme, le président renforce son dispositif en nommant Jean-Pierre Jouyet au secrétariat général de l'Élysée et en plaçant Jean-Christophe Cambadélis à la tête du PS
Libé - Grand Lyon : Collomb va-t-il résister à la vague bleue ?
Alors que l'élection pour la présidence de la communauté urbaine aura lieu mercredi prochain, le candidat UMP François-Noël Buffet veut croire à sa victoire contre le socialiste.
Le Monde - Nos portraits des 14 secrétaires d'Etat
Au lendemain du discours de politique générale de Manuel Valls devant l'Assemblée nationale et une semaine après la nomination des ministres, le gouvernement est au complet. Pierre-André Lemas, qui sera remplacé par Jean-Pierre Jouyet au poste de secrétaire général de l'Elysée, a donné, mercredi 9 avril, la liste des 14 secrétaires d'Etat qui vont compléter le gouvernement resserré et paritaire de 16 ministres.
Le Nouvel Obs - Secrétaires d'Etat : des nouveaux, des revenants
Frédéric Cuvillier garde les Transports et Geneviève Fioraso, l'Université. Fleur Pellerin passe au Commerce extérieur. Harlem Désir arrive aux Affaires européennes...
Libé - Désir et Le Guen rejoignent le gouvernement Valls
Quatorze secrétaires d'Etat ont rejoint l'équipe Valls ce mercredi.
Une semaine après la nomination de seize ministres, le gouvernement de Manuel Valls s'étoffe aujourd'hui de quatorze secrétaires d'Etat, au lendemain du discours de politique générale du Premier ministre. La perspective de ces nominations agitait la classe politique depuis plusieurs jours, et notamment les jeunes socialistes dont certains espéraient intégrer l'équipe Valls.
Le Monde - Jean-Pierre Jouyet nommé secrétaire général de l'Elysée
Contacté par Le Monde, François Hollande justifie ce choix, mercredi 9 avril : « L'idée est de faire un changement qui s'inscrit dans le changement. Dès lors qu'une nouvelle équipe s'installait à Matignon, je souhaitais qu'il y ait une nouvelle équipe à l'Elysée », explique le chef de l'Etat. Pour lui, Matignon et l'Elysée doivent désormais travailler de façon « totalement imbriquée ». Il faut, précise-t-il, « une cohérence absolue, une équipe quasiment fusionnelle, une véritable unité de commandement ».
Le Monde - Fusionner des régions, une si vieille idée
Vingt-sept régions, 101 départements, 4 055 cantons, 2 456 établissements publics de coopération intercommunale (communautés d'agglomération, de commune...) et 36 680 communes, sans oublier les districts de sous-préfectures, tel est, en 2014, le portrait administratif des territoires français. Après quelques annonces de François Hollande en janvier, c'est au tour de Manuel Valls de promettre de réduire la taille du millefeuille administratif français. Il n'est pas le premier, loin de là.
Europe 1 - Désir remplacé par Cambadélis rue de Solférino ?
REMANIEMENT, LA SUITE - Le patron du PS pourrait devenir secrétaire d’Etat aux affaires européennes.
Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a salué dans un communiqué mardi les "réformes audacieuses, courageuses et justes" exposées par Manuel Valls dans sa déclaration de politique générale et qui "transformeront profondément notre pays". Sa dernière prise de parole en tant que patron des socialistes ? Selon les informations recueillies par Caroline Roux, l’éditorialiste politique d’Europe 1, Harlem Désir pourrait être nommé mercredi secrétaire d’Etat aux affaires européennes pour "libérer la rue de Solférino". Pour le remplacer, le nom de Jean-Christophe Cambadélis est cité.
Le Monde - Harlem Désir menacé à la tête du Parti socialiste
Après le gouvernement et le cabinet de l'Elysée, le remaniement au PS ? Après avoir nommé Manuel Valls premier ministre, remanié le gouvernement, et remplacé Pierre-René Lemas par Jean-Pierre Jouyet au secrétariat général de l'Elysée, François Hollande pourrait également changer la direction du Parti socialiste.
Libé - Les principaux extraits de la déclaration de politique générale de Manuel Valls
..... La confiance a finalement été votée à 306 voix pour et 239 contre. Au PS, onze députés de l'aile gauche se sont finalement abstenus, dont Pouria Amirshahi, Jérôme Guedj, Henri Emmanuelli ou Barbara Romagnan. Côté écologistes, 10 ont voté la confiance, six se sont abstenue et une a voté contre (Isabelle Attard, qui a quitté EE-LV). 14 radicaux sur 17 ont voté pour (3 abstentions). Comme annoncé, les députés Front de gauche ont voté contre.
Assemblée Nationale - Analyse du scrutin n° 785 Première séance du 08/04/2014
Scrutin public sur la déclaration de politique générale du Gouvernement de M. Manuel Valls (en application de l'article 49, alinéa premier, de la Constitution).
9 avril
Manuel Valls a proposé mardi 8 avril, lors de sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, une vaste réforme territoriale.
Dans le viseur du premier ministre: la suppression des conseils départementaux et de la clause générale de compétences mais aussi dessiner une nouvelle carte du pays en se penchant sur les intercommunalités et en réduisant par deux le nombre de régions.
Le Blog de Françoise Fressoz - Manuel Valls, l’homme de la rupture fiscale
Après avoir écouté Manuel Valls prononcer sa déclaration de politique générale, on comprend mieux pourquoi François Hollande avait tellement besoin de nommer un nouveau premier ministre après le désastre électoral de mars.
Peut mieux faire - Le décret sur les rythmes scolaires est maintenu
"Le décret sur les rythmes est maintenu"... Il aura fallu que l'entourage du ministre de l'éducation nationale, Benoît Hamon, explicite la formule ambiguë utilisée par le chef du gouvernement lors de son discours de politique générale. Manuel Valls venait de jeter un doute en déclarant qu'il proposait un "assouplissement du cadre des rythmes". En dépit de son habillage simple, la formule n'était pas immédiatement lisible. Elle est restée ambiguë jusqu'aux précisions de la rue de Grenelle.
Le Monde - L'ambitieuse feuille de route de Manuel Valls
« Trop de souffrances, pas assez d'espérance, telle est la situation de la France », c'est par ces mots que le nouveau premier ministre, Manuel Valls, a ouvert sa déclaration de politique générale, mardi 8 avril, à l'Assemblée nationale. Prévue par l'article 49-1 de la Constitution, mais pas obligatoire, cette déclaration est un rituel fondateur qui engage durablement son auteur.
Libé - Suppression des conseils départementaux : «Un discours jacobin, pas décentralisateur»
Claudy Lebreton, président de l’Assemblée des départements de France, dénonce la volonté de Manuel Valls de supprimer cette collectivité d'ici 2021.
Libé - Valls veut réduire de moitié le nombre de régions
Le Premier ministre a également annoncé, lors de son discours de politique général, vouloir supprimer les conseils départementaux.
Libé - Secrétaires d'Etat : «Il faut faire émerger la génération Hollande 2017»
A la veille de l'annonce des noms de la douzaine de secrétaires d'Etat du gouvernement Valls, certains plaident pour une valorisation de la jeune génération. Résultat : les jeunes pousses socialistes sont fébriles.
Com'c'est bizarre - La com’ trop soignée du discours de Valls
Il était difficile de le rater durant sa première semaine comme Premier ministre : magazines, presse, télés, Manuel Valls a soigné sa communication auprès du grand public. Objectif ? Faire vite oublier Jean-Marc Ayrault et préparer l’opinion à son discours de politique générale censé ouvrir une « nouvelle étape » du quinquennat. Mais le professionnalisme du Premier ministre, au demeurant très classique dans la méthode, ne saurait suffire à renouer la confiance avec les Français. Le teasing trop appuyé du premier grand discours de chef de gouvernement pourrait provoquer un sentiment de déception dans l’opinion.
Le Monde - Valls aura-t-il la confiance de l'Assemblée ?
Le premier ministre, Manuel Valls, a prononcé un discours de politique général, mardi 8 avril, à l'Assemblée nationale. Après la défaite du Parti socialiste lors des municipales, il devrait préciser la politique économique du gouvernement (dont les détails du pacte de responsabilité) et rassurer les députés qui auront, à l'issue de ce disours, à voter la confiance au gouvernement.
Le Nouvel Obs - Discours de Valls : "Je ne pense pas qu'il y aura d'abstentions au PS"
Pour Bruno Le Roux, chef du groupe PS à l'Assemblée, Manuel Valls s'est montré suffisamment rassurant et rassembleur devant les socialistes, avant son discours de politique générale.
Le Nouvel Obs - 10 questions que Manuel Valls va devoir trancher
Réforme pénale, Roms, économies budgétaires, coup de pouce pour les ménages… Les dossiers brûlants ne manquent pas pour le Premier ministre, qui prononce à 15 heures son discours de politique générale.
Le blog de Françoise Fressoz - François Hollande face à la fracture européenne
Le scrutin municipal de mars a réveillé les vieilles fractures de la gauche. Dominé par la déroute du parti socialiste et la municipalisation du Front national, il a eu pour effet de pousser les écologistes en dehors du gouvernement et de réveiller la contestation qui couvait depuis le début du quinquennat Hollande au sein du parti socialiste: près d’un tiers de ses députés réclament la fin de «la politique d’austérité » et une réorientation de l’Europe .
8 avril
Le Nouvel Obs - EXCLUSIF. Sondage : Valls démarre fort, avec 56% de satisfaits
56% des Français ont une image positive du nouveau Premier ministre, selon un sondage LH2 pour "le Nouvel Observateur". C'est le double de la popularité de François Hollande (27%).
Le Monde - Claude Bartolone : « Ne pas sacrifier la France à l’Europe libérale
A la veille du discours de politique générale de Manuel Valls, mardi 8 avril, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, veut rester vigilant sur le « changement de scénario » qui suivra, après la déroute des élections municipales.
DOCUMENTAIRES - Nouveau cap, nouveau premier ministre, nouveau gouvernement. Oui mais pour quoi faire? Avant même de fêter sa deuxième année à l'Elysée, voilà donc François Hollande contraint d'entamer à marche forcée la seconde mi-temps de son quinquennat. Le coup d'envoi est attendu ce mardi 8 avril avec le discours de politique générale de son tout nouveau chef de gouvernement Manuel Valls.
LE PLUS. Après la déroute des municipales, les députés PS attendent Manuel Valls au tournant. Alors que le Premier ministre doit prononcer son discours de politique générale mardi 8 avril, une centaine d’entre eux ont signé une lettre réclamant un changement de cap politique. Le député du Finistère Richard Ferrand fait parti des signataires "frondeurs". Il revient sur les objectifs de cette démarche.
Libé - Le Roux : «Quand on est député de la majorité, il y a un devoir de solidarité»
Dans une lettre à ses troupes, le président des députés PS Bruno Le Roux plaide pour un «nouvel équilibre» dans la politique du gouvernement. Tout en mettant en garde les éventuels frondeurs.
Le JDD - Le texte et la liste des 89 frondeurs du PS
INFO JDD - Avant le discours de politique générale de Manuel Valls et le vote de confiance à son gouvernement mardi, 89 responsables socialistes, dont des députés issus de l'aile gauche du parti, des amis de Martine Aubry et d'autres sensibilités du PS réclament, dans un texte que publie le JDD, un nouveau "contrat de majorité".
7 avril
Le Monde - Municipales : comment la gauche a perdu Limoges
Pour les uns, ce fut un « séisme », pour les autres un « coup de tonnerre » ou un « tsunami ». Comme si seul un déchaînement des éléments avait pu provoquer un tel événement. Limoges la rouge, « la Rome du socialisme », Limoges « terre de gauche », de Résistance et de luttes ouvrières a tremblé, dimanche 30 mars. La capitale limousine, socialiste depuis 1912, sauf pendant quatre années de collaboration et deux années de communisme entre 1940 et 1947, a basculé à droite.
Dans une interview au «JDD», le nouveau Premier ministre évoque aussi les «ravages» de la hausse des impôts.
Manuel Valls assure dans le JDD que les Verts seront «associés» à la politique du gouvernement qu’il dirige, s’ils lui votent la confiance mardi après son discours de politique générale.
Le Monde, Florence Aubenas - « Ici, faut être contremaître pour voter PS »
Pour certains, c’est la première fois, ils ont en même temps peur et envie. Ils viennent de partout dans le Pas-de-Calais, ils sont très jeunes, très socialistes, leur chef a tout juste 22 ans. Peu avant les élections municipales, la fédération PS avait confié à sa section juniors une distribution de tracts à Hénin-Beaumont. Hénin-Beaumont ? Depuis des années, la France entière a le regard fixé sur ce gros village où le Front national dévore des voix à gauche, de scrutin en scrutin.
Les Echos - Manuel Valls, version douce
Le Premier ministre prend très au sérieux la fronde des 88 parlementaires socialistes. Les discussions sont ouvertes pour infléchir la politique économique.
Les Echos - 88 députés socialistes menacent de ne pas voter la confiance au gouvernement Valls
Le « JDD » publie la liste des « 88 frondeurs du PS », qui réclament un nouveau « contrat de majorité » et posent leurs conditions pour voter la confiance au gouvernement. La liste pourrait s’allonger.
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Le Guen : "Hidalgo a évidemment gagné la bataille de Paris"
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Le Guen : "L'aile gauche du PS n'a jamais rien apporté de solide"
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Lundi Politique - Jean-Marie Le Guen
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BFM Politique: Xavier Bertrand, député UMP de l'Aisne face à Jean-Marie Le Guen, député PS de Paris - 27/10
BFM Politique: Xavier Bertrand, député UMP de l... par BFMTV -
Le Guen : «La gauche a une responsabilité historique»
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Jean-Marie Le Guen : «L'aile gauche du PS a raison sur les retraites»
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Le Guen : "François Hollande doit assumer son réformisme"
Le Guen : "François Hollande doit assumer son... par Europe1fr -
L'actualité des socialistes du 22 au 28 avril
A la une
Le JDD - Comment le PS a adouci sa critique de Merkel
Ciblant trop Merkel, le projet de texte du PS pour sa convention Europe a été adouci. Les attaques ad hominem visant la chancelière ont disparu.L’intervention de Jean-Marc Ayrault n’y est pas pour rien. Mais le ton anti-austérité, lui, reste.
27 et 28 avril
Le JDD - Vers une "confrontation" Hollande-Merkel?
Dans un document de travail, le PS pousse François Hollande à un "affrontement démocratique" avec l'Allemagne d'Angela Merkel, jugée responsables des politiques d'austérité en Europe. Une perspective qui inquiète la droite française, qui juge déplorable les relations actuelles entre les deux pays.
Le Monde - Le PS dénonce "l'intransigeance égoïste de la chancelière Merkel"
L'Europe de la rigueur est une nouvelle fois attaquée. Après des premiers coups venus de l'aile gauche du Parti socialiste, puis, encore plus fortement, du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, dans un entretien au Monde, c'est désormais le parti qui pointe du doigt cette Europe des conservateurs.
Le Monde - La gauche et ses vieux démons
En plaidant, comme il vient de le faire dans Le Monde, pour une "confrontation" avec l'Allemagne, là où François Hollande préfère parler de "tension amicale", Claude Bartolone remet en scène de façon spectaculaire la tentation de "l'autre politique" récurrente depuis 1983.
La sénatrice et porte-parole du PS Laurence Rossignol maintient son soutien à la loi d’amnistie sociale, malgré la ferme opposition du gouvernement. « Nous sommes fiers de notre vote », affirme-t-elle. Les députés PS ont pour consigne de voter contre le 16 mai. Mais plusieurs voteront pour.
Le Monde - Les promesses brisées de la présidence "normale"
Il avait promis que lui, président de la République, il ne "rencontrerai[t] pas de parlementaires de la majorité à l'Elysée". Un an à peine après le débat de l'entre-deux-tours de la présidentielle, lors duquel il avait égrené ses engagements dans une anaphore restée célèbre, François Hollande est pris à son propre piège à promesses.
Le Monde - Transparence : "Les mesures Hollande n'auraient pas permis d'éviter l'affaire Cahuzac"
Dans un chat sur LeMonde.fr, Éric Halphen, magistrat et président d'honneur d'Anticor, une association de lutte contre la corruption, estime que le contrôle des lobbies est "le problème important" de la vie parlementaire.
Libé - Hollande rentre de Chine, les rumeurs aussi
Par Grégoire Biseau, envoyé spécial en Chine, et Philippe Grangereau, correspondant à PékinLe chef de l’Etat avait entamé jeudi matin sa première visite dans le pays. Récit des grandes et petites histoires de ce voyage.
Le Monde - La colère du MoDem, exclu des primaires PS à Aix et Marseille
Les responsables du MoDem de Marseille ont qualifié vendredi de "totalement irrationnelle" la décision des instances locales du Parti socialiste (PS) de refuser leur participation aux primaires citoyennes de l'opposition organisées pour les prochaines municipales à Aix-en-Provence et Marseille.
Député de la Haute-Garonne, Christophe Borgel, secrétaire national du PS en charge des élections, ne craint pas l'influence du climat national sur le résultat des élections municipales.
Les Echos - Claude Bartolone veut devenir l'homme fort de la majorité
Omniprésent dans les médias, le président PS de l’Assemblée nationale entend s’imposer dans le système Hollande. Le lancement de sa croisade contre la publication du patrimoine des parlementaires au lendemain de l'intervention télévisée du chef de l’Etat sur la transparence de la vie politique avait fortement déplue au « Château ». L’interview de Claude Bartolone au « Monde » ce jeudi suscite cette remarque amusée d’un conseiller de l’Elysée : « C’est je suis prêt au cas où... » Prêt pour Matignon même si - prudent - le président PS de l’Assemblée s’en défend. « Premier ministre, c’est pas une fonction que vous pouvez inscrire dans votre plan de carrière car votre nomination dépend totalement de la situation politique et du choix du président de la République », confiait-il fin février. Peu de gens le croiront.
26 avril
Le Figaro - Le PS veut amender la transparence de Hollande
Le projet de loi sur la moralisation de la vie politique a été adopté en Conseil des ministres. Mais il ne sera pas voté en l'état. L'initiative est sans précédent: les deux présidents PS des commissions des lois de l'Assemblée nationale et du Sénat, Jean-Jacques Urvoas et Jean-Pierre Sueur, ont publié mercredi un communiqué commun pour réaffirmer leur volonté d'élaborer «un mécanisme permettant de concilier transparence, contrôle et respect de la vie privée auquel a droit tout individu». C'est dire la méfiance des parlementaires, qui vont tout faire pour encadrer la publication de leurs déclarations de patrimoine, que le gouvernement les incite à faire.
Acteurs Publics - Scepticisme des élus locaux sur les métropoles
Les 23 et 24 avril, les sénateurs ont auditionné les élus des grandes villes de France sur le premier projet de loi de décentralisation. À la différence des parlementaires, ils ont émis des réserves sur les futures métropoles..... Même son de cloche chez les maires du Rhône. Jean-Paul Bret, édile PS de Villeurbanne, estime qu’“on rend les choses plus compliquées et moins efficaces”, alors que les parlementaires défendent la métropole lyonnaise.
Le Nouvel Obs - Amnistie sociale : Boutih veut un vote interne au PS
La loi votée au Sénat et qui n'a pas été soutenue par le gouvernement "ne peut engager automatiquement les parlementaires socialistes", estime le député de l'Essonne.
Les Echos - Le PS referme la porte à toute amnistie sociale
Gouvernement et députés PS rejettent la proposition de loi communiste. Les tensions liées au mariage gay ont poussé l'exécutif à jouer la fermeté.
Marsactu - Au PS 13, la rénovation se résume aux primaires
Le Monde - Bartolone : "Nous devons envisager le deuxième temps du quinquennat"
Après s'être fortement opposé à la publication du patrimoine des députés, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, émet de nouveau des réserves sur le projet de loi sur la moralisation de la vie publique, présenté mercredi 24 avril en conseil des ministres. Il plaide également pour un rassemblement de toute la gauche et pour l'engagement du "deuxième temps" du quinquennat, plus centré sur le social.
25 avril
L'Express - Amnistie sociale: le gouvernement dit "non" après avoir dit "bravo"
Au gouvernement ou au PS comme parmi les parlementaires socialistes, l'opposition au texte sur l'amnistie sociale n'est pas aussi unanime que la majorité le souhaiterait. Exemples.
Le Monde - Hollande "abordera certainement" la question des droits de l'homme en Chine
Le président François Hollande "abordera certainement" la question des droits de l'homme au cours de sa visite en Chine jeudi et vendredi, a déclaré le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, mercredi 24 avril. "Mais il le fera avec le souci de l'efficacité et sans esprit de provocation", a-t-il précisé.
FranceTVinfo - Finalement, Hollande reçoit des parlementaires PS à l'Elysée
Lui président de la République, il ne devait pas recevoir les parlementaires de la majorité à l'Elysée. Finalement, entre l'affaire Cahuzac, le dossier moralisation de la vie politique et le contexte économique troublé, les doutes des députés socialistes sont tels que François Hollande a cédé. Selon Le Canard Enchaîné et Europe 1, mercredi 24 avril, le président a reçu une dizaine d'élus socialistes la semaine dernière au palais et devrait faire de ces "apéros du mardi" un rendez-vous régulier.
Le Monde - Affaire Cahuzac : les députés vont enquêter sur l'action du gouvernement
L'Assemblée nationale a décidé de créer une commission d'enquête sur l'action du gouvernement "entre le 4 décembre 2012 et le 2 avril 2013 dans la gestion d'une affaire qui a conduit à la démission d'un membre du gouvernement", à savoir l'affaire Cahuzac.
L'Express - Les députés et sénateurs PS veulent éviter la publication des patrimoines
Dans un communiqué, les présidents PS des commissions des Lois du Sénat et de l'Assemblée nationale appellent à concilier "transparence et respect de la vie privée". Une manière d'échapper à la publication des patrimoines.
Tribune de Lyon - Municipales. La bourgeoisie lyonnaise tentée par le centre gauche
C’est la thèse défendue par un ouvrage qui s’appuie sur des centaines d’entretiens approfondis avec des Lyonnais. Ce qui pourrait avoir des conséquences en 2014 sur le vote dans les 2e et 6e arrondissements....
Le Monde - "Pour un choc de vérité au sein du PS, à gauche et pour la France" Par Jean-Marie Le Guen, Jean Besson, Jean-Pierre Caffet, Christophe Caresche, Jean-David Ciot, Marc Goua, Gilles Savary, Pascal Terrasse (Députés et sénateurs PS)
Nous avons été choqués par l'intervention musclée, au Conseil national du Parti socialiste, de militants d'extrême gauche qui n'ont cessé de refuser tout compromis et tout dialogue social dans leur entreprise. Et nous avons été stupéfaits de voir leurs propos véhéments, déraisonnables et de mauvaise foi contre la politique gouvernementale applaudis par une partie de l'assistance.
24 avril
Le Monde - Lancement de l'opération d'assainissement de la vie publique
Le Conseil des ministres doit déclencher mercredi 24 avril une opération "mains propres" qui ne dit pas son nom, en arrêtant une panoplie de mesures d'assainissement de la vie publique sur laquelle François Hollande joue son autorité face à la fronde des parlementaires, socialistes en tête. La transparence et le contrôle du patrimoine des responsables et la lutte contre la fraude et les paradis fiscaux forment le cœur du dispositif en préparation, trois semaines après les aveux de l'ex-ministre du budget Jérôme Cahuzac sur son compte caché à l'étranger.
Libé (abonnés) - L’exécutif affiche une petite moralisation
Fraude . Les mesures anticorruption annoncées par le Président sont insuffisantes pour certains magistrats. Par Violette Lazard
Il y a eu l’affaire Cahuzac. Puis, en chaîne, une foule d’annonces, la publication par les ministres de leur patrimoine et des grandes promesses sur la lutte judiciaire contre la corruption. Alors qu’un projet de loi sur la moralisation de la vie politique doit être présenté ce matin en Conseil des ministres, une quarantaine de magistrats spécialisés dans la lutte contre la grande délinquance financière lancent un appel au président de la République (lire p. 23).Le JDD - Ayrault propose un deal aux députés PS
Après avoir entendu leurs frustrations la veille, Jean-Marc Ayrault s'est engagé mardi devant les députés socialistes à leur donner davantage de considération. Un geste pour lequel il a réclamé une contrepartie.
Le Monde (abonnés) - Le manifeste "anti-aile gauche" de plusieurs élus PS
Après la grogne de l'aile gauche du PS, la réaction de l'aile droite ? Une dizaine de parlementaires socialistes, dont les députés Jean-Marie Le Guen, Pascal Terrasse, Christophe Caresche ou encore le sénateur Jean-Pierre Caffet, se fendent d'une tribune acerbe sur Lemonde.fr pour plaider "un choc de vérité au sein du PS, à gauche et pour la France". Et, dans le même mouvement, fustiger ceux de leurs camarades qui ces jours-ci accentuent leur critique de la politique gouvernementale.
Le Monde (abonnés) - Bruno Le Roux, le "jeune vieux briscard" face aux turbulences du groupe PS
Ces derniers jours, un court article du Point circulait entre les mains des ministres. A lire, une "confidence" du président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, agacé de "la panique à l'Elysée", où "ils ne contrôlent plus rien !". Fidèle parmi les fidèles "hollandais", Bruno Le Roux serait-il, lui aussi, gagné par le doute? Si l'intéressé a officiellement démenti ces propos, une des nouvelles figures de l'Assemblée l'assure : "En ce moment, il tire vraiment la tronche."
Maintenant la Gauche - Retrouvez le plan de relance écologique et social
23 avril
Libé (abonnés) - Séminaire de réfection entre les députés socialistes et le gouvernement
Une journée de réflexion visait hier à ressouder des élus PS divisés sur plusieurs dossiers. Par Lilian Alemagna et Laure Bretton
Acent sur un divan. Les députés socialistes ont passé la journée d’hier en thérapie de groupe à l’Assemblée nationale - une première depuis le début du quinquennat. De quoi déballer ressentis et ressentiments après onze mois de gauche au pouvoir.Com'c'est bizarre - Crise de popularité et menace de la rue : comment reprendre la main ?
Désormais au fond de la piscine de la popularité, François Hollande peut-il espérer un rebond automatique ? Ou doit-il craindre, au contraire, ce «mai 2013» que l’opposition appelle de ses voeux ? Si le déficit de confiance s’explique avant tout par la montée du chômage et la peur de la crise, il est désormais suffisamment prononcé pour justifier les dérapages extrémistes dans la rue.
Le président de la République (photo Reuters) pourrait utilement méditer l’expérience de deux de ses prédécesseurs, François Mitterrand et Nicolas Sarkozy, qui, confrontés à la même crise d’opinion, ont réagi par la reprise en main de l’agenda.Le Nouvel Obs - Boutih : "Copé est dangereux pour la droite républicaine"
Après que certains élus UMP ont manifesté dimanche aux côtés de membres du FN contre le mariage pour tous, le député PS de l'Essonne analyse les fractures de la droite.
LE PLUS. Tout le monde se souvient d'un François Hollande mince, déterminé, candidat à la présidence de la République. Aujourd'hui chef d'État, il semblerait que l'ex-président du conseil général de la Corrèze se soucie beaucoup moins de son poids. Et si ce yo-yo des kilos en disait long sur sa politique ? Analyse du communicant Claude Posternak.
Le Monde - Au PS, un séminaire pour atténuer le mécontentement des troupes
Près de la moitié des 293 députés du groupe PS, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, et "la moitié du gouvernement" ont passé la journée de lundi 22 avril à l'Assemblée nationale pour un "séminaire de réflexion" à huis clos afin de discuter de la manière dont travaillent le parti et l'exécutif. Cette rencontre, la première du type depuis l'élection de François Hollande il y a près d'un an, a lieu alors que les relations entre les parlementaires et l'exécutif sont particulièrement tendues.
L'Express - Séminaire: les députés PS avaient beaucoup de choses à dire à Ayrault
Au terme d'une journée d'échanges "francs, loyaux et lucides" avec le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, les élus socialistes ont le sentiment d'avoir vidé leur sac. A voir maintenant comment l'exécutif va digérer tout cela.
Le Monde - Le Sénat adopte le projet de loi sur l'emploi malgré un coup d'éclat des communistes
Le Sénat a adopté, dans la nuit de samedi à dimanche, le projet de loi sur l'emploi, au terme d'un débat agité. Le gouvernement avait en effet décidé d'utiliser un vote bloqué pour faire accélérer les débats ce qui a déclenché la fureur des sénateurs communistes qui ont retiré tous leurs amendements et quitté l'hémicycle.
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